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André Roberge, recteur de l'Université Sainte-Anne et Greg Kerr, député de Nova-Ouest

Au nom de l'honorable Tony Clement, ministre canadien de l'Industrie, Greg Kerr, député de Nova‑Ouest, accompagné du président de l'Université Sainte‑Anne André Roberge, a annoncé aujourd'hui un investissement de 1 276 500 $ pour l'Université Sainte‑Anne dans le cadre du Programme d'infrastructure du savoir.

Cet investissement s'insère dans le plan de 2 milliards de dollars sur deux ans du gouvernement fédéral en vue de procéder à des réparations et des agrandissements dans les installations de recherche et d'enseignement des collèges et des universités du Canada. Le programme contribuera à relancer l'économie et à favoriser l'embauche en créant des emplois pour les ingénieurs, les architectes, les gens de métier et les techniciens. Il permettra aussi la mise sur pied de l'infrastructure technologique de pointe nécessaire afin que les collèges et les universités du Canada demeurent à l'avant-garde des percées scientifiques.

« Dans la situation actuelle d'incertitude économique, notre gouvernement prend des mesures énergiques pour stimuler l'activité économique à l'aide du Programme d'infrastructure du savoir », indique Greg Kerr. « Cette initiative de renouvellement d'infrastructure des collèges et des universités du Canada fera en sorte de stimuler considérablement l'économie à court terme et de donner du travail à beaucoup de résidants de Nova‑Ouest. L'Université Sainte-Anne est un élément essentiel de l'économie de cette région et ce projet aura des répercussions immédiates, mais laissera aussi un legs pour l'avenir aux étudiants de Sainte‑Anne ».

Ce « projet de technologies combinées » de 2 553 000 $ met en jeu trois technologies d'énergie renouvelable au campus principal de l'Université Sainte‑Anne à Church Point, dans le comté de Digby : l'installation d'un générateur à eau chaude alimenté aux copeaux de bois et d'équipement connexe d'entreposage de carburant et de manutention pour remplacer la centrale de chauffage au mazout actuelle, l'installation de systèmes héliothermiques qui produisent de l'eau chaude domestique et l'installation d'une éolienne pour réduire la dépendance à l'énergie électrique achetée.

« Ce projet aura des répercussions positives à long terme pour l'Université Sainte‑Anne », soutient le président André Roberge. « Nous sommes excitons d'avoir le support du gouvernement fédéral pour développer un campus plus durable. Ce projet permettra de réduire de réduire considérablement les coûts opérationnels de l'Université, ce qui se traduira par plus d'argent pour les nouveaux programmes et les services aux étudiants. Grâce à ce projet à trois volets, nous serons probablement l'université la plus écologique au Canada d'ici un an ».

Le Plan d'action économique du Canada comprend des mesures visant à stimuler l'économie canadienne au cours des deux prochaines années et à améliorer notre compétitivité à long terme grâce à un nouvel investissement de 12 milliards de dollars dans l'infrastructure. De ce montant, 2 milliards de dollars sont destinés au Programme d'infrastructure du savoir. Ce nouveau financement constitue le prochain investissement d'importance prévu dans la stratégie pluriannuelle du gouvernement en matière de sciences et de technologie, intitulée Réaliser le potentiel des sciences et de la technologie au profit du Canada.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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