Actualités

Jimmy Thibeault fait paraître « L'expression du sujet en tant qu'"entité". Se définir chez Louis Hamelin » dans le numéro d'automne 2015 de revue Voix et Images, qui est entièrement consacré à l'auteur Louis Hamelin.

Dans son article, Jimmy Thibeault aborde la question de l'américanité et de la franco-américanité à l'œuvre chez Louis Hamelin. Depuis le début des années 1980, plusieurs écrivains québécois se sont intéressés au caractère américain de la société québécoise, c'est-à-dire à l'expérience historique de cette société francophone qui a pris forme certes dans un rapport de filiation à la France, mais également dans une proximité culturelle avec d'autres sociétés qui se sont formées en parallèle sur le continent. Louis Hamelin occupe une place importante dans cette lignée d'auteurs qui ont inscrit leur œuvre sous le signe de l'américanité. Chez Hamelin, cette américanité, si elle renvoie au territoire continental et à la culture états-unienne, est néanmoins empreinte d'une certaine conscience francophone qui participerait à définir le territoire, ouvrant ainsi la voie à une recomposition de l'imaginaire continental par sa franco-américanité. Le présent article propose d'étudier comment Louis Hamelin participe à la réflexion sur la franco-américanité en s'intéressant essentiellement au rapport qu'entretient son écriture avec les discours identitaires qui marquent le Québec, notamment dans son rapport avec la France et avec les États-Unis. Il est question, dans un premier temps, de la représentation de la France dans la construction identitaire du Québec telle qu'elle apparaît dans quelques textes du livre Le voyage en pot et, dans un deuxième temps, de la construction du sujet en marge d'une certaine représentation du mythe américain dans Le joueur de flûte.

La revue Voix et Images est disponible sur Érudit : https://www.erudit.org/fr/revues/vi/2015-v40-n3-vi02030/

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !