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Clint Bruce

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 20 mai 2016 - Le webzine Astheure, en collaboration avec le blogue Les Carnets Nord/Sud, est fier d'annoncer le lancement d'une nouvelle série intitulée La filière Louisiane. Clint Bruce, professeur au Département des sciences humaines et titulaire de la Chaire de recherche en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT) à l'Université Sainte-Anne alimentera La Filière Louisiane avec des textes d'auteurs louisianais, canadiens et autres. Les Carnets Nord /Sud est le blogue officiel de la CRÉAcT.

Cette série vise à faire mieux connaître les enjeux culturels de la Louisiane francophone et à favoriser le dialogue entre Acadiens et Louisianais. Le premier texte, publié aujourd'hui, s'intitule Sur les traces de Beausoleil en Louisiane : Entrevue avec les archéologues du Projet Nouvelle-Acadie. Il propose une entrevue avec Mark Rees, archéologue à l'Université de Louisiane à Lafayette et principal responsable du Projet Nouvelle Acadie, sur les traces des établissements acadiens aux Attakapas, et avec Amy Broussard, doctorante qui participe également au projet.

« Cette initiative reflète au mieux l'esprit de la CRÉAcT et du futur Observatoire Nord/Sud : bien que les travaux scientifiques restent au premier plan, la recherche doit avant tout jeter des ponts et ouvrir des discussions. Je suis convaincu que l'Acadie et la Louisiane ont encore énormément de choses à se dire » explique M. Bruce.

Parmi les autres textes prévus, les lecteurs et lectrices pourront s'intéresser à un compte-rendu de Acadian Driftwood de Paul-Émile Comeau, ainsi qu'à un débat-dialogue entre Clint Bruce et Nathan Rabalais portant sur les controverses autour des monuments en hommage à des Confédérés franco-louisianais, de l'époque de la Guerre civile américaine.

Marie-Hélène Eddie, membre du comité de rédaction d'Astheure, est ravi de pouvoir présenter La filière Louisiane, une idée originale de Clint Bruce. « Astheure a été créé avec le mandat de parler des thèmes qui nous semblaient peu traités dans les médias traditionnels en Acadie. Lorsque Clint nous a approchés, le temps nous a semblé propice d'élargir nos horizons et d'intégrer des sujets proprement louisianais à notre webzine, surtout que les dossiers de la diaspora acadienne sont trop peu présents au sein des médias de chez nous. »

Astheure a comme mission de créer un espace de débat en français qui vise tant à informer qu'à favoriser les échanges d'idées et les découvertes culturelles. Le but est donc d'offrir une plateforme en français, ouverte et dynamique, dans le souci de favoriser un renouvellement du discours acadien.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour de plus amples renseignements

  • Clint Bruce | 902-769-2114 | Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 
  • Marie Hélène Eddie | 613-316-6898 | Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 
  • Luc Léger | 506-863-7516 | Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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