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Dans la photo de gauche à droite : Nathan Muise, Julien Savoie et André Roberge.

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 28 juin 2018 – Le 20 juin dernier, l'Université Sainte-Anne et ses institutions partenaires ont remporté un prix national en reconnaissance de leur collaboration innovatrice.

Le Programme du prix CUCCIO – présenté par le Canadian University Council of Chief Information Officers (CUCCIO) – vise à rendre hommage aux personnes, groupes ou institutions dont le travail illustre bien les efforts déployés par le CUCCIO pour établir une communauté des TI dans l'enseignement supérieur au Canada et la soutenir.

Nova-Scotia Higher-Ed IT Shared Services (HISS) a été formé en 2014 lorsque 11 institutions ont convenu de partager leurs services technologiques afin d'améliorer leurs services et de diminuer les coûts. C'est un projet qui nécessite à la fois une collaboration accrue ainsi que la maîtrise d'outils et de logiciels qui sont à la fine pointe de la technologie.

Ensemble, le groupe a réussi à implémenter Microsoft Office 365 – axé sur l'information en nuage – sur un ensemble de 8 institutions. Ceci marque la première réalisation de ce type de projet à l'échelle provinciale, au Canada. Rappelons que l'année dernière, le groupe a été reconnu pour ce même projet à la conférence annuelle de l'Association canadienne du personnel administratif universitaire (ACPAU) à Ottawa, où il s'est vu remettre le Prix de la qualité et de la productivité.

Le Prix CUCCIO reconnait les bénéfices obtenus grâce au partage d'information entre institutions ainsi que l'efficacité accrue due à la collaboration continue des services partagés. D'ici 2019, ces institutions néo-écossaises auront économisé plus de 950 000 $ et on estime qu'il y aura des économies de coûts et des efficiences additionnelles grâce aux futurs projets du IT Shared Services.

Les priorités à venir pour ce groupe incluent la mise en place d'une architecture de réseau partagée et de normes de sécurité cybernétiques.

Félicitations au directeur des services technologiques, André Roberge, et à toute son équipe pour leur leadership sur ce projet à l'Université Sainte-Anne ainsi qu'aux institutions partenaires pour ce brillant exemple de collaboration !

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel