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Pointe-de-l'Église, vendredi, 23 août 2019 - Afin de répondre à leur mission de participer au développement de la connaissance et des compétences de pointe chez les étudiants, les établissements collégiaux canadiens sont appelés à mener des activités de recherche et d'innovation et à adopter des approches pédagogiques novatrices.

L'Université Sainte-Anne, le Cégep régional de Lanaudière au Québec, le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick et le Collège Boréal, localisé en Ontario, mettent en œuvre un projet de collaboration en matière de recherche et d'innovation.

Un besoin de créer des ponts entre les chercheurs, les praticiens et les bureaux de recherche et d'innovation des établissements collégiaux se fait sentir. L'Université Sainte-Anne, le Cégep régional de Lanaudière, le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick et le Collège Boréal ont développé, au fil du temps, une expertise en matière de recherche appliquée, d'innovation et de pédagogie dans des domaines apparentés.

« Nos quatre établissements ont développé des expertises similaires et complémentaires dans plusieurs domaines, dont les domaines des bioprocédés, […] des technologies agricoles et aquacoles, des services aux industries et du design industriel. La perspective de développer une structure de collaboration et de transfert d'expertise en matière de recherche, d'innovation et de pédagogie entre nous apparaît ainsi pertinente »

- Dominic Leblanc, conseiller en recherche et développement institutionnel au Cégep régional de Lanaudière et instigateur du projet.

Dès l'automne, une équipe de travail se rendra au Cégep régional de Lanaudière afin notamment d'y rencontrer des chercheurs et experts et de visiter les installations spécialisées de l'établissement. L'équipe pourra également en apprendre davantage sur INÉDI, le centre collégial de transfert de technologie en design industriel et sur Bio.Enviro.In, le Centre d'innovation bioalimentaire, horticole et environnemental. Cela permettra de déterminer des pistes de collaborations et de jeter les bases de projets novateurs. L'équipe de travail se rendra par la suite au Nouveau-Brunswick, où des rencontres avec différents experts et chercheurs sont prévues, particulièrement dans les nombreuses divisions spécialisées des centres CCNB-INNOV.

« Le projet permettra de déterminer les possibilités et de jeter les bases de collaborations à long terme. Il est susceptible d’avoir des retombées concrètes pour nos quatre établissements, comme le développement de projets communs, l’élaboration de projets de partenariats en recherche et en innovation ainsi que le partage d’équipement et d’expertise », mentionne Hélène Bailleu, directrice générale du Cégep régional de Lanaudière.

Le projet est rendu possible par l’obtention d’une subvention de la part du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada dans le cadre des Fonds de partenariat au collégial – volet développement pancanadien.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel