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Halifax (N.-É.), le 26 février 2020 - L'industrie du homard de la Nouvelle-Écosse appuie les communautés rurales à l'échelle de la province, et a augmenté les exportations de 1,2 milliard de dollars en 2019. Un nouveau Centre de recherche et d'innovation sur la qualité du homard, d'une valeur de 2,5 millions de dollars, trouvera de nouvelles façons de renforcer davantage la qualité et la valeur d'exportation du homard.

« Nous voulons que les meilleurs homards du monde proviennent de la Nouvelle-Écosse, et c'est pourquoi nous sommes fiers de financer ce centre de recherche pour contribuer au travail visant à atteindre cet objectif pour notre industrie des produits de la mer, qui est en pleine croissance, affirme Keith Colwell, ministre des Pêches et de l'Aquaculture. Ce centre renforcera le rôle du homard de notre province comme une ressource naturelle renouvelable et durable sur les marchés intérieurs et internationaux. »

Le gouvernement provincial et l'Université Sainte-Anne travaillent ensemble pour créer une installation de recherche avancée. Le Centre de recherche et d'innovation sur la qualité du homard, situé au campus de l'Université Sainte-Anne de Pointe-de-l'Église, comté de Digby, attirera une équipe de recherche de classe mondiale.

Il travaillera en étroite collaboration avec le Centre de recherche marine situé à Petit-de-Grat, comté de Richmond, afin d'appuyer l'innovation dans l'industrie du homard.

Les activités seront axées la qualité du homard vivant, les pratiques de manipulation et de rétention, l'entreposage et l'expédition et les nouvelles technologies de classement. Un comité consultatif guidera les activités.

La construction est en cours, et il est prévu que le centre sera prêt cet été.

Citations

« Que ce soit pour l'amélioration de la communauté acadienne, pour la prospérité des régions rurales de la Nouvelle-Écosse ou pour la croissance économique de la province dans son ensemble, l'industrie du homard est le domaine le plus approprié où l'Université Sainte-Anne peut concentrer ses efforts pour assurer la croissance de ses entreprises de recherche. C'est pourquoi nous sommes très fiers aujourd'hui d'annoncer l’établissement du Centre de recherche et d’innovation sur la qualité du homard. »

- Kenneth Deveau, vice-recteur à l'enseignement et à la recherche, Université Sainte-Anne

 « Les transformateurs, les acheteurs et les vendeurs de homard en Nouvelle-Écosse prennent bien au sérieux la qualité de leurs produits. Nous sommes ravis de cette initiative, qui utilisera des mesures scientifiques pour améliorer la qualité du homard. Nous vendons le homard vivant et transformé de la Nouvelle-Écosse à l'échelle mondiale, et nous mettons toujours l'accent sur la qualité supérieure de nos produits. »

- Leo Muise, directeur général, Nova Scotia Seafood Alliance

Faits en bref

  • Le budget de 2,5 millions de dollars s'étendra sur trois ans et servira à embaucher le personnel de recherche et les techniciens de laboratoire (525 000 $), à acheter l'équipement de laboratoire (1,6 million de dollars) et à payer les frais d'exploitation (282 000 $).
  • Le financement provient du fonds « Building for Tomorrow » du gouvernement provincial, qui aide les entreprises de l'industrie des pêches et de l'agriculture à créer de nouveaux produits, à accéder à de nouveaux marchés et à ajouter de la valeur aux produits existants.
  • Le homard de la Nouvelle-Écosse est reconnu à l'échelle mondiale pour sa qualité supérieure. La Nouvelle-Écosse exporte 2,3 milliards de dollars en produits de la mer vers 80 pays, et le homard est le produit d'exportation à valeur la plus élevée.

Ressources supplémentaires

Renseignements supplémentaires au sujet du Centre de recherche et d'innovation sur la qualité du homard : https://www.usainteanne.ca/liaison-avec-la-communaute-et-l-industrie

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Personne-ressource

Bruce Nunn
902-476-6454
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Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!