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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 10 mai 2019 - Le concepteur de jeu Chad Comeau et le graphiste Marc d'Entremont, originaires de la Baie Sainte-Marie, lancent À tchi?, un jeu de cartes original inspiré de coutumes acadiennes.

Une campagne de sociofinancement pour le jeu a été lancé le 10 mai 2019. Puisque la production de jeux physiques est coûteuse, l'appui du public est nécessaire pour concrétiser le projet. Les personnes intéressés sont donc invitées de se réserver une copie par pré-commande. La campagne se trouve ici sur Kickstarter, ou visitez tout simplement www.atchi.ca.

Que signifie le nom À tchi? En rencontrant quelqu'un à Clare, en Nouvelle-Écosse, on lui demande d'expliquer « à tchi » ils ou elles sont. On répond en nommant nos parents, leurs parents, et ainsi de suite. Par exemple, le musicien Marc à Paul à Jos souligne cette coutume. En jouant À tchi?, on performe cette tradition, sous forme de jeu de mémoire. Les joueurs compétitionnent l'un contre l'autre ou forment une équipe de 2 à 6 joueurs pour découvrir qui peut le mieux se rappeler de sa lignée familiale.

À tchi? est créé en partenariat avec le Centre acadien de l'Université Sainte-Anne. Le projet À tchi? s'inscrit dans la mission du Centre acadien, soit de faire connaître et rayonner la culture acadienne. Le Centre acadien est fier d'appuyer ce projet qui permettra de faire connaître un aspect du riche patrimoine oral acadien.

Ce jeu de cartes, conçu pour honorer et partager une tradition vivante, est composé de plus de cent prénoms de membres des familles fondatrices de la région de Clare, en Nouvelle-Écosse, et ailleurs en Acadie.

Crédit photo : Veintitres Photography

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Contact :
Chad Comeau
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902-307-7273

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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