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Pointe-de-l’Église (N.-É.), le 26 octobre 2023La sixième classe de maître de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT) de l’Université Sainte-Anne sera animée par Rohini Bannerjee de St. Mary’s University. Spécialiste d’études francophones, elle s’intéresse aux enjeux de l’équité, de la diversité et de l’inclusion.

Cette table ronde, intitulée Quand nos identités se croisent : comprendre l’intersectionnalité, aura lieu dans les locaux dans l’Observatoire Nord/Sud, au 2e étage de la Bibliothèque Louis-R.-Comeau, le jeudi 16 novembre 2023 à 19h00. La conversation abordera la notion d’intersectionnalité qui renvoie au fait que chaque personne a plusieurs identités qui se chevauchent, et que ce phénomène conditionne l’expérience de groupes minoritaires ou marginalisés. Gratuite et ouverte au public, l’activité sera aussi diffusée sur Zoom [https://us02web.zoom.us/j/81136401395].

Fille d’immigrants de l’Inde au territoire de Mik’ma’ki, et francophone de formation, Rohini Bannerjee est vice-présidente associée à Saint Mary’s University, chargée de la diversité, de l’inclusion et de l’équité. Parallèlement professeure titulaire en études francophones au Département des langues et cultures, elle mène des recherches sur les littératures et les cultures francophones de l’océan Indien. En plus de ses essais, madame Bannerjee a publié des poèmes et des récits en Espagne, en Inde et au Canada.

Le thème de l’intersectionnalité se trouve au cœur d’un projet de recherche dirigé par le professeur Clint Bruce, titulaire de la CRÉAcT et directeur de l’Observatoire Nord/Sud, sur la dimension identitaire et les retombées sociales du Congrès mondial acadien 2024. « Ayant été suspendues pendant la pandémie, les classes de maître font maintenant un retour en force grâce à la collaboration de Rohini Bannerjee, qui apporte une perspective précieuse sur les questions de diversité et d’inclusivité », explique monsieur Bruce.

Suivant la formule des classes de maître, cette table ronde prendra la forme d’un séminaire composé d’étudiants et de professeurs ainsi que de membres de la communauté. Le public sera invité à contribuer à la discussion.

La classe de maître est composée des personnes suivantes :

  • Arianne Des Rochers, traductrice et professeure à l’Université de Moncton
  • Jean-Philippe Giroux, rédacteur-en-chef du Courrier de la Nouvelle-Écosse
  • Johnsly Ira, étudiant en CEFR et originaire d’Haïti
  • Sandrine Mounier, docteure de l’Université du Québec à Montréal
  • Madjiguène Ndèye, étudiante en CEFR et enseignante au Cap-Breton
  • Sandrine Pagé, étudiante en CEFR

À propos de l’Université Sainte-Anne

Fière de son caractère francophone, l’Université Sainte-Anne constitue un foyer unique en son genre pour l’apprentissage, la recherche, l’innovation et l’épanouissement en français. En effet, ancrée dans l’Acadie de la Nouvelle-Écosse, l’Université se focalise sur la création et la mobilisation de savoirs nouveaux dans une variété de domaines de pointe particulièrement pertinents pour notre époque. L’Université Sainte-Anne souhaite soutenir une culture de recherche concertée et dynamique, de façon à favoriser le rayonnement et la mise en œuvre de savoirs vitaux et novateurs, destinés à répondre aux besoins de la communauté locale, de la société acadienne et d’un monde en constante mutation. 

Pour plus d’information    

Bureau de la recherche   
Université Sainte-Anne  
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Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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