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Le gouvernement du Canada finance les initiatives de recherche et de développement sur l'Isle Madame

Le 26 avril 2016 – Petit-de-Grat, N.-É. - Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA)

La Nouvelle-Écosse est le plus grand exportateur de poissons et de fruits de mer du Canada; chaque année, la province exporte environ 125 157 tonnes de ces délices pêchés le long de la Côte atlantique. Le secrétaire parlementaire Rodger Cuzner a visité l'Isle Madame aujourd'hui pour annoncer que le gouvernement du Canada injectera, par l'intermédiaire de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA), 800 000 $ dans la recherche et le développement de l'industrie des produits de la mer de deux collectivités rurales de Cap-Breton.

Après des années de recherche, NovaCan a su mettre au point une technologie grâce à laquelle l'entreprise peut entreposer des crabes des neiges vivants pour de longues périodes et, ainsi, viser des marchés encore plus éloignés. Ce type de projet constitue une percée technologique, car il n'existe, à ce jour, aucune installation d'entreposage de crabe des neiges des crabes. L'APECA financera l'expansion du projet par une contribution (remboursable) de 500 000 $ du Programme de développement des entreprises qui servira à la construction de ce système novateur d'entreposage du crabe des neiges vivant. À la fin du projet, ces installations pourront accueillir un maximum de 150 000 livres de crabes des neiges.

Même si l'industrie de la pêche continue de s'épanouir dans la région de l'Atlantique, de nombreuses entreprises de traitement des prises peinent à attirer et à garder une main-d'oeuvre qualifiée. Le campus de l'Université Sainte-Anne à Petit-de-Grat constate, chaque jour, les effets de cette pénurie sur la collectivité. Avec l'aide du Programme de développement des entreprises de l'APECA, le Centre de recherche marine de l'Université Sainte-Anne mettra sur pied une unité mobile de transformation des produits de la mer qui servira d'installations de formation afin de régler les problèmes démographiques, géographiques, de concurrence et en matière de ressources. Le but de ce projet est de combler la pénurie de main-d'oeuvre dans l'industrie de la pêche et d'aider les étudiants à passer progressivement de l'école au marché de l'emploi. Le gouvernement du Canada contribuera 301 215 $ (non remboursables) à ce projet pilote.

Citations

« Le Canada atlantique est reconnu dans le monde entier pour sa grande variété de produits de la mer de qualité supérieure. Cette industrie est un employeur important pour de nombreuses collectivités rurales et côtières de la région. Le gouvernement du Canada tient à travailler étroitement avec tous les ordres de gouvernements et nos partenaires en éducation afin de promouvoir les produits de la mer du Canada atlantique et ainsi de faire augmenter les exportations, qui contribuent à créer et à préserver des milliers d'emplois et à favoriser la croissance économique dans la région. »

– L'honorable Navdeep Bains, ministre de l'Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de l'Agence de promotion économique du Canada atlantique

« L'industrie des produits de la mer est un moteur économique clé pour l'île du Cap-Breton et surtout pour nos collectivités rurales. Les investissements annoncés aujourd'hui contribueront aux initiatives de recherche et de développement qui nous permettront de nous doter d'une main-d'oeuvre qualifiée et d'exporter à travers le monde entier des produits de qualité supérieure. »

- Rodger Cuzner, secrétaire parlementaire pour le ministre de l'Emploi, du Développement de la main d'oeuvre et du Travail et député pour la circonscription de Cape Breton-Canso

« L'Université Sainte-Anne se fait un devoir de contribuer à la croissance économique de la Nouvelle-Écosse. Nous sommes très fiers des projets novateurs de recherche et de développement que nous menons à notre Centre de recherche marine de Petit-de-Grat et nous sommes très reconnaissants de l'aide que nous recevons de tous nos partenaires gouvernementaux; sans eux, nous ne pourrions poursuivre notre travail. »

- Kenneth Deveau, vice-recteur à l'enseignement et recherche, Université Sainte-Anne

« D'Arichat aux quatre coins du monde. Cette devise nous inspire et continuera de nous inspirer alors que nous faisons connaître aux Canadiens et aux pays étrangers les meilleurs produits de la mer sauvages – et les plus frais – qui proviennent de l'Isle Madame. Nous sommes reconnaissants des partenariats que nous avons établis depuis notre création au printemps 2012, et je suis fier de notre équipe dynamique et compétente qui est prête à affronter les défis qui l'attendent. »

- Andrew Burch, directeur général, NovaCan Live Seafood

Liens connexes

Personnes-ressources

Alex Smith Directeur
Communications et liaison externe, Agence de promotion économique du Canada Atlantique
Tél. : 902-426-9417/902-830-3839 (cellulaire)
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Andrew Burch
Directeur général, NovaCan Live Seafood
Tél. : 902-631-3181
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Michelle Thériault
Directrice, Centre de recherche marine Université Sainte Anne, campus de Petit-de-Grat
Téléphone : 902-226-3922
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Information générale

À ses débuts, NovaCan Live Seafood se concentrait davantage sur la recherche en vue de mettre au point de meilleures méthodes de transformation, d'entreposage et d'expédition du crabe des neiges vivant. L'entreprise a entrepris une étroite collaboration avec le Centre de recherche marine de l'Université Sainte-Anne afin de perfectionner les protocoles de récolte, de transformation et d'entreposage en vue d'élaborer une méthode grâce à laquelle il serait possible de prolonger la période d'entreposage du crabe des neiges et de l'expédier plus loin, vers des marchés jusque-là inexploités. Plus particulièrement, le but est de doubler la superficie des infrastructures en place. On ajoutera donc 4 000 pieds carrés de superficie et on installera des refroidisseurs d'eau, des pompes à eau, des filtres biologiques, un système de chauffage avec échangeurs à plaques et des réservoirs-viviers.

Le projet lancé par le Centre de recherche marine de l'Université Sainte-Anne mènera à la création d'une unité mobile de transformation des produits de la mer qui servira aussi d'installations de formation. L'unité comptera un congélateur, un cuiseur, une section réservée à la transformation, une station de désinfection à grande eau, un laboratoire, une section de stockage des eaux usées et une génératrice. L'unité ne servira pas qu'à former de la main-d'oeuvre, elle pourra aussi être louée à d'autres entreprises de l'industrie pour des projets de développement et de transformation destinés aux marchés témoin et pour l'évaluation de nouveaux équipements et de nouvelles technologies.

Le Programme de développement des entreprises (PDE) a pour mission d'aider des entreprises du Canada atlantique, ou qui envisagent de s'y installer, à démarrer, à se développer ou à se moderniser. Axé sur les petites et moyennes entreprises, le PDE offre un accès à des capitaux sous la forme de contributions financières sans intérêt remboursables. Les organismes sans but lucratif qui appuient des entreprises du Canada atlantique ont aussi accès à l'aide financière du PDE, sous la forme de contributions non remboursables.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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