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Pointe-de-l'Église, N-É. – Les universités de l’Atlantique démontrent que démographie n’égale pas destinée. Ces institutions viennent d’enregistrer des augmentations stupéfiantes sur 12 mois dans des catégories clés d’inscription.

L’Association des universités de l’Atlantique (AUA) a dévoilé, le 15 octobre dernier, son rapport 2019-20 Preliminary Enrolments. Certains points saillants du rapport sont :

  • Une augmentation de 4 % sur 12 mois chez les étudiants de premier cycle et de cyclesupérieur (temps plein), (+3 016), pour un total de 77 778;
  • Une augmentation de 20,1 % sur 12 mois chez les étudiants internationaux, (+3 192),pour un total de 19 037;
  • Une augmentation de 6,8 % sur 12 mois chez les étudiants de première année, tempsplein, (+891), pour un total of 14 061.

Selon Allister Surette, Président de l’AUA et recteur de l’Université Sainte-Anne, ces augmentations extraordinaires sont attribuables à plusieurs facteurs clés.

« Nos universités ont compris, depuis un certain temps, que la région est aux prises avec undéfi démographique. Pour contrecarrer ce phénomène, chaque institution a investi davantagede temps, d’efforts et de ressources envers le recrutement étudiant, d’abord et avant tout àl’international. »

L’AUA est un ardent défenseur de l’idée que la meilleure source de nouveaux immigrants au Canada atlantique est le bassin croissant d’étudiants internationaux ayant choisi d’étudier dans les universités de la région. Un sondage 2017 de l’AUA auprès des diplômés internationaux démontrait que, parmi les étudiants internationaux :

  • 77 % étaient d’accord que le Canada atlantique « est un endroit où j’aimerais vivre ettravailler après la remise des diplômes »;
  • 94 % étaient d’accord qu’en tant que nouveaux arrivants, ils se sentaient les bienvenusau Canada atlantique;
  • 84 % avaient indiqué avoir créer des liens d’amitiés solides dans leurs collectivités ; et,
  • 79 % avaient indiqué qu’il y avait « des gens de ma culture dans la collectivité ».

M. Surette a également souligné que « les universités de l’Atlantique ont une solide réputation aux niveaux national et international quant à l’enseignement de qualité et l’expérience étudiante unique. »

Il a également précisé que « tous les leaders universitaires ont à coeur de s’assurer que leurscampus sont des lieux accueillants, sécuritaires et surs. Ce sont des éléments importants pourles étudiants et leurs familles. »

L’Association des universités de l’Atlantique (AUA) représente les intérêts des universités dansla région, assurant une visibilité publique au rôle important qu’elles jouent dans la préparationdes leaders de demain dans nos collectivités, dans la recherche et l’innovation de pointe et,dans les contributions à la prospérité de la vie économique, culturelle et sociale au Canadaatlantique.

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Pour de plus amples informations, contacter:

Peter Halpin 
Directeur exécutif, Association des universités de l’Atlantique
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
(902) 425-4238 ou (902) 497-4419

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel