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Du 2 au 4 janvier dernier avait lieu la 6e édition du Parlement Jeunesse de l'Acadie (PJA) à Frédéricton.  Cette activité était organisée par la Société Nationale de l'Acadie (SNA) en collaboration avec l'organisme jeunesse hôtesse.

Cette année, 37 jeunes des quatre provinces de l'Atlantique y ont participé dont Melanie Bourque et moi-même, de l'Université Sainte-Anne. Il y avait deux volets soit celui des médias et celui des députés.  Durant deux jours les participants avaient la chance d'incarner un député et de découvrir les différentes procédures parlementaires.

Le PJA 2015 avait comme optique d'explorer le cadran politique d'une façon plutôt rigolote puisqu'il y avait quatre partis assez extrémistes : le parti Amazone, un parti socialiste-autoritaire composé uniquement de filles,  le Bloc Acadien, un parti capitaliste-autoritaire où les traditions acadiennes originelles étaient mis au premier plan,  les Bobos, parti socialiste-libertin incarnant le gouvernement ainsi que les Mésanges libres, parti anarchique incarnant l'opposition officielle.

Les médias, quant à eux, avait la chance d'interroger les participants tout au long de la fin de semaine, de faire des vidéos et  de créer un journal politique, de l'imprimer et de le distribuer à la fin de l'événement.

Pour ceux et celles que cette expérience pourrait intéresser, le PJA se déroule à tous les deux ans en alternant avec le Parlement Jeunesse Pancanadien.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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