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Henriette Bella

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 21 novembre 2016 – Le département des sciences administratives de l'Université Sainte-Anne est fier de collaborer avec la Fédération des femmes acadiennes de la Nouvelle-Écosse (FFANE) afin de contribuer à la prospérité économique des femmes à travers la province.

Pour la FFANE, il s'agit de venir en aide aux entrepreneures qui ont des besoins particuliers et qui ont besoin de ressources pour passer à la prochaine étape avec leur entreprise. Pour l'Université Sainte-Anne, il s'agit de donner une opportunité à ses futurs diplômés d'acquérir une expérience concrète et pratique qui leur sera utile sur le marché du travail. On développe chez eux le goût de l'entreprenariat.

Plus concrètement, cette collaboration consiste à jumeler un étudiant(e) ou un groupe d'étudiants avec une entrepreneure, selon le champ d'intérêt des étudiants et les besoins de l'entrepreneure. L'entrepreneure et l'étudiant travaillent ensemble pendant 8 semaines afin de déterminer les objectifs et les attentes de leur collaboration. Les résultats sont partagés avec l'entrepreneure par l'entremise d'un rapport qui inclut les observations de Yalla Sangaré, professeur au département des sciences administratives à l'Université Sainte-Anne.

« Cette collaboration s'insère pleinement dans un des axes principaux du plan stratégique de l'Université Sainte-Anne, soit d'être ancrée dans la communauté. Nous sommes ravis de pouvoir soutenir les femmes entrepreneurs francophones de la province et en même temps d'offrir à nos étudiants une expérience de travail sur le terrain. » explique M. Sangaré.

Henriette Bella, étudiante du baccalauréat en administration des affaires (programme coopératif), a déjà participé au projet au cours de l'été et les résultats ont été exceptionnels. « Ce fut une opportunité pour moi de mettre en pratique les connaissances apprises en classe durant le cours de Projet de marketing, notamment sur les réalités que rencontrent les petites entreprises dans la nouvelle ère technologique. Ce fut également un grand avantage de percevoir les défis auxquels ces entreprises doivent faire face au quotidien, surtout sur le plan régional » explique madame Bella.

Colette M. Deveau, coordonnatrice du projet La prospérité économique des femmes, affirme : « La FFANE est très heureuse de ce partenariat avec l’Université Sainte-Anne. Ce partenariat nous permet d’aider aux femmes entrepreneures et artisanes, acadiennes et francophones de la province, selon les stratégies proposées de notre document Analyse des résultats de la consultation provinciale 2015. » Mme Deveau ajoute : « Ce jumelage entrepreneures-étudiants donne aux femmes accès à un service en français qui se traduit en meilleure chance de survie pour leurs entreprises. »

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !