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La chasse à l'alphabet, aussi appelée « On-court-partout-lesbras-chargés-d'objets-improbables », s'est déroulée jeudi au Château avec une cinquantaine d'étudiants ultra motivés!

But du jeu : trouver un objet pour chaque lettre de l'alphabet et rapporter le tout au Château en moins de 25 minutes (trois photos autorisées). Pas d'objet = 0 pt, objet accepté = 1 pt, objet unique = 2 pts. Cette année, le concept a été un peu modifié pour pimenter le jeu et corser les difficultés. Nos participants ont su rivaliser d'originalité pour trouver un A en rapport avec les Amérindiens ou quelque chose débutant par un O qu'on ne peut pas trouver au Canada.

On retiendra de la soirée ce qui suit : il existe différents types de Fromages; c'est facile de transporter une Table ou une Imprimante depuis l'autre bout du campus ; les Condoms aux fruits entrent dans la catégorie « C qui est un fruit » ; « Objet de Tiphaine » ne fonctionne pas ; manteau d'hiver Hollister n'est pas un « H en rapport avec l'hiver »; les Kiwis sont aussi des oiseaux ; une Bicyclette c'est parfois utile ; une Citrouille est un fruit ; certains étudiants ont des objets... spéciaux (Irina, Implants, peluches de Superman, éléments du tableau périodique...). Mention spéciale originalité pour tous! MERCI!!

Gagnants du la chasse : les Appartements! (Melanie, je m'incline, bravo!) Félicitation ! Dernier intramuros de la session et de l'année 2014 : Jeudi 4 décembre pour une belle activité de Noël : le concours de maisons en pain d'épice! RDV à 21h au Castelet en PYJAMAS!

Important : matériel de décorations personnel interdit! Tout sera fourni par le comité. D'ici là, bon courage avec vos travaux et n'oubliez pas de prendre des pauses et de relaxer!

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !