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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 21 janvier 2020 – Il est plutôt rare que trois sœurs de la même famille soient inscrites en même temps à l'Université Sainte-Anne. Mais c'est le cas cette année pour les sœurs Sibbick—Emily, Hannah et Olivia—toutes les trois finissantes de Montague High School et originaires de Cardigan à l'Île-du-Prince-Edouard.

La sœur aînée, Emily, est en 4e année du baccalauréat ès arts/baccalauréat en éducation et dit avoir choisi Sainte-Anne « pour continuer mes études en français ». Elle est consciente des avantages que son bilinguisme lui confie et de ce fait, elle est déterminée à saisir les occasions qui lui permettent d'améliorer son français. Elle a notamment choisi de participer au programme de mobilité étudiante qui lui permet de partir en échange à l'Université Bretagne-Sud, France, lors du trimestre d'hiver. Elle suivra des cours en Licence Lettres Modernes, ce qui lui offrira une nouvelle occasion de perfectionner son français.

Hannah, en 3e année du baccalauréat en sciences, dit qu'elle est très proche de ses sœurs et trouve que « c'est parfait que Sainte-Anne offre différents programmes qui nous conviennent ! » Pour elle, une des expériences qu'elle a hâte de vivre chaque année, c'est une fin de semaine de camping au lac Quinan. « C'est si calme et amusant de prendre un week-end hors campus, mais encore dans une culture francophone ! » explique-t-elle. C'est donc important pour elle de vivre dans une communauté où elle peut parler en français, ce qui est le cas, car le campus de Pointe-de-l'Église se trouve dans l'une des plus importantes communautés francophones en Nouvelle-Écosse.

Olivia, la sœur cadette, a choisi le baccalauréat en sciences à l'Université Sainte-Anne, car ici, elle se sent chez elle. « J'ai visité avec ma famille en novembre et c'est à ce moment-là que j'ai réalisé que c'était où je voulais poursuivre mes études. Tous les gens étaient si gentils et m'ont fait sentir comme si j'étais encore à l'Île-du-Prince-Édouard. C'était comme une famille qui m'a accueillie et je me suis sentie aimé. »

Les Sibbick sont des étudiantes assidues, engagées et impliquées dans la vie sur le campus et qui, malgré leurs horaires chargés, prennent le temps de se retrouver pendant leur temps libre. Par exemple, elles jouissent du fait qu'elles puissent préparer leur nourriture et manger ensemble dans la cuisine nouvellement rénovée de la résidence Bellefontaine. Ce sont des moments dont elles vont se souvenir pendant longtemps.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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