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Jimmy Thibeault fait paraître « L'expression du sujet en tant qu'"entité". Se définir chez Louis Hamelin » dans le numéro d'automne 2015 de revue Voix et Images, qui est entièrement consacré à l'auteur Louis Hamelin.

Dans son article, Jimmy Thibeault aborde la question de l'américanité et de la franco-américanité à l'œuvre chez Louis Hamelin. Depuis le début des années 1980, plusieurs écrivains québécois se sont intéressés au caractère américain de la société québécoise, c'est-à-dire à l'expérience historique de cette société francophone qui a pris forme certes dans un rapport de filiation à la France, mais également dans une proximité culturelle avec d'autres sociétés qui se sont formées en parallèle sur le continent. Louis Hamelin occupe une place importante dans cette lignée d'auteurs qui ont inscrit leur œuvre sous le signe de l'américanité. Chez Hamelin, cette américanité, si elle renvoie au territoire continental et à la culture états-unienne, est néanmoins empreinte d'une certaine conscience francophone qui participerait à définir le territoire, ouvrant ainsi la voie à une recomposition de l'imaginaire continental par sa franco-américanité. Le présent article propose d'étudier comment Louis Hamelin participe à la réflexion sur la franco-américanité en s'intéressant essentiellement au rapport qu'entretient son écriture avec les discours identitaires qui marquent le Québec, notamment dans son rapport avec la France et avec les États-Unis. Il est question, dans un premier temps, de la représentation de la France dans la construction identitaire du Québec telle qu'elle apparaît dans quelques textes du livre Le voyage en pot et, dans un deuxième temps, de la construction du sujet en marge d'une certaine représentation du mythe américain dans Le joueur de flûte.

La revue Voix et Images est disponible sur Érudit : https://www.erudit.org/fr/revues/vi/2015-v40-n3-vi02030/

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!