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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 19 novembre 2020 – Caroline Fitzpatrick, professeure en psychologie à l'Université Sainte-Anne, et Elizabeth Harvey, professeure en sciences de l'éducation à l'Université Sainte-Anne, viennent de faire paraître le chapitre La violence virtuelle et ses répercussions sur les comportements agressifs des jeunes dans le livre Les conduites agressives à L'école : Comprendre pour mieux intervenir. L'ouvrage collectif est dirigé par Nancy Gaudreau, professeure au Département d'études sur l'enseignement et l'apprentissage à l'Université Laval.  

Mettant à contribution l'expertise de plusieurs chercheurs reconnus dans le domaine, l'ouvrage présente différentes perspectives explicatives du développement des conduites agressives chez les jeunes pour ensuite suggérer des approches d'intervention susceptibles de prévenir leur émergence et de guider les intervenants scolaires dans leurs interventions auprès des jeunes en difficulté.

Le chapitre réalisé par les professeures Fitzpatrick et Harvey a précisément pour objectifs de renseigner sur l'abondance des contenus violents dans les médias et présenter l'état des connaissances sur les conséquences potentielles de cette vitrine grandissante de la violence. Des recommandations de stratégies susceptibles de réduire les effets négatifs des médias violents sur le développement des jeunes sont proposées en conclusion.

« Notre chapitre s'inscrit dans une approche de santé publique et vise à clairement démontrer comment les médias violents, souvent perçus comme une source de loisir et de divertissement, peuvent nuire à la santé et au bien-être des enfants et adolescents ».

- Caroline Fitzpatrick, professeure en psychologie à l'Université Sainte-Anne

« Cet ouvrage permettra aux étudiants en Science de l'éducation d'être mieux préparés à enseigner aux élèves qui présentent des comportements agressifs, lesquels représentent l'un des plus grands défis de la mise en œuvre de l'inclusion scolaire ».

Élizabeth Harvey, professeure en sciences de l'éducation à l'Université Sainte-Anne

Référence : Fitzpatrick, C. et Harvey, E. (2020). La violence virtuelle et ses répercussions sur les comportements agressifs des jeunes. Dans N. Gaudreau (dir), Les conduites agressives à l'école : Comprendre pour mieux intervenir. Presse de l'Université du Québec, Canada.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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