Actualités

Jimmy Thibeault donnera une conférence à l'Université Dalhousie dans le cadre des « French Lecture Series » le vendredi 28 février à 16h.

Cette conférence, intitulée « De la ville à la région : la représentation d'une Acadie moderne en contexte américain », portera sur le rapport qu'entretient la littérature acadienne récente avec le continent. Dans la littérature acadienne, la modernité s'est essentiellement définie à partir de la ville de Moncton, qui s'est voulue, dès les années 1970, comme la capitale littéraire symbolique d'une Acadie moderne. Cette image urbaine de l'Acadie moderne s'est construite en opposition à l'espace rural, qui représenterait plutôt un lieu de préservation du patrimoine culturel acadien, un lieu qui inscrirait d'emblée l'identité acadienne dans ce qu'elle a de folklorique, voire de passéiste.

Entre la représentation d'un espace urbain et d'un espace rural propre à l'Acadie, on a pu constater une démarcation nette entre l'ouverture et la fermeture de cette identité. D'une part, l'ouverture passe par l'inscription de la modernité acadienne dans une certaine américanité qui apparaît à travers les influences culturelles et formelles rattachées à la ville américaine. C'est notamment le cas chez certains poètes influents des années 1970, dont Herménégilde Chiasson et Gérald Leblanc. D'autre part, la fermeture apparaît dans le discours traditionnel d'une Acadie campagnarde aux prises avec un certain repli identitaire qui poserait un rapport négatif à l'américanité. Mais cette division entre la ville et la région, entre la modernité et le folklore, est-elle toujours pertinente ?

Cette conférence propose d'examiner, à la lumière des travaux récents sur l'américanité et la régionalité, le rapport qui s'établit entre acadianité et américanité à partir de deux ouvrages, soit Vortex de Jean Babineau (qui pose Moncton comme lieu d'affirmation) et Alma de Georgette LeBlanc (qui s'inscrit dans la région rurale de la baie Sainte-Marie).

L'événement aura lieu le vendredi 28 février à 16h, Pavillon McCain 1102, Dalhousie University.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !