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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 22 juillet 2019 – Caroline Fitzpatrick, professeure adjointe au département des sciences humaines à l'Université Sainte-Anne et chercheuse membre du Centre PERFORM de l'Université Concordia, vient d'obtenir un financement de Research Nova Scotia. Cette subvention de 150 000 $ sera répartie sur 3 ans et lui permettra d'effectuer des recherches qui porteront sur les effets du temps-écran et le développement des enfants d'âge préscolaire en Nouvelle-Écosse.

« Les écrans, incluant la télévision, les tablettes et les téléphones intelligents, occupent une place de plus en plus importante dans la vie des jeunes enfants. Il est donc important de mieux comprendre l'influence de ceux-ci sur les enfants et leur vie familiale. » 

- Caroline Fitzpatrick, professeure adjointe au département des sciences humaines à l'Université Sainte-Anne et chercheuse membre du Centre PERFORM de l'Université Concordia.

Ce projet est mené en collaboration avec plusieurs chercheurs et partenaires, notamment Elizabeth Harvey, professeure au département des sciences de l'éducation à l'Université Sainte-Anne, Rachel Barr, professeure en psychologie à l'Université de Georgetown et Mark Asbridge, professeur au département de santé communautaire et d'épidémiologie de l'Université Dalhousie.

Le Consortium national de formation en santé (CNFS) et La Pirouette, un centre de ressources et de services à la famille, sont également partenaires. Lisa Thimot, coordonnatrice provinciale de La Pirouette, affirme que « la recherche proposée est d'un grand intérêt pour nous étant donné que notre mission est de contribuer à la qualité de vie de nos communautés, de fournir des ressources aux familles acadiennes, francophones et bilingues partout en Nouvelle-Écosse, ainsi que d'enrichir la vie de jeunes enfants et de leurs familles. »

La professeure Fitzpatrick souhaite souligner que « cette subvention aura également des retombés positives sur la population étudiante des campus de Pointe-de-l'Église et de Halifax, car des postes d'assistantes ou d'assistants de recherche seront disponibles pour des étudiantes et étudiants inscrits à des programmes de premier et de deuxième cycle. »

Il s'agit d'excellentes opportunités pour encourager le développement des compétences en recherche et des occasions d'apprentissage authentiques. 

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel