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Pointe-de-l'Église, 22 octobre 2019 ‒ Du 7 au 9 octobre, une délégation composée de représentants du Cégep régional de Lanaudière (CRL) au Québec, du Collège Boréal en Ontario et de l'Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse s'est rendue au Collège communautaire du Nouveau-Brunswick (CCNB) afin d'identifier des possibilités de partenariats en matière de recherche, d'innovation et de pédagogie.

Cette visite s'inscrit dans le développement d'un projet de collaboration entre les quatre établissements qui, au fil du temps, ont développé des expertises similaires et complémentaires dans plusieurs domaines, dont le design industriel, la transformation des matériaux, l'automatisation et la robotisation, la transformation des aliments, les techniques agricoles et horticoles, les bioprocédés, l'environnement et la conservation des sols.

Au cours du séjour, la délégation a pu visiter plusieurs divisions spécialisées des centres CCNB-INNOV : la division Fabrication de pointe à Bathurst, l'École des pêches et la division Matériaux de pointe à Caraquet ainsi que la division Agriculture-Bioprocédés-Breuvages-Environnement à Grand-Sault. La visite du campus d'Edmundston a également permis de rencontrer des enseignants du programme Dessin technique et industriel ainsi que des responsables de programmes, tant au secteur régulier qu'au secteur de la formation continue.

« Ce séjour a permis d'identifier plusieurs pistes de collaboration importantes entre les partenaires impliqués dans le projet, autant sur le plan du développement de projets de recherche et d'innovation que sur le plan de la pédagogie et du partage d'expertise. Les domaines du design industriel, de l'agroalimentaire, de l'environnement et de l'automatisation ressortent comme des secteurs prometteurs », mentionne Dominic Leblanc, conseiller en recherche et développement institutionnel au Cégep régional de Lanaudière et instigateur du projet.

Au terme du séjour, les partenaires ont identifié des actions à entreprendre pour élaborer d'éventuels projets de collaborations. En janvier 2020, les travaux se poursuivront au Cégep régional de Lanaudière, alors que celui-ci accueillera une délégation du Collège communautaire du Nouveau-Brunswick, du Collège Boréal et de l'Université Sainte-Anne.

Le projet est rendu possible par l'obtention d'une subvention de la part du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada dans le cadre des Fonds de partenariat au collégial – volet développement pancanadien.

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Dans la photo de gauche à droite : Sylvain Poirier (CCNB, directeur général, Entrepreneurship et Innovation), Mike Doucette (CCNB, chercheur-chimiste), Dominic Leblanc (CRL, conseiller en recherche et développement institutionnel), Martin Venne (CRL, ingénierie mécanique, INÉDI), Samira Chbouki (CRL, coordonnatrice de Bio.Enviro.In), Robin Craig (Collège Boréal, directrice de la recherche appliquée), Valérie Lalande (Université Sainte-Anne, agente de liaison avec l'industrie) et Leandro Passarini (CCNB, chercheur et gestionnaire à la division Agriculture-Bioprocédés-Breuvages-Environnement). Absent de la photo : Sylvain Poirier, directeur d'INÉDI, au CRL.

Source

Lyne Baillargeon
Conseillère en communication
Cégep régional de Lanaudière
Tél. : 450 470-0911, poste 7242
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Pour information

Rachelle LeBlanc
Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. :902 769-2114, poste 7222
Courriel :Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel