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Pointe-de-l'Église, le 31 octobre 2019 – Judith Patouma, professeure de didactique des langues au département des sciences de l'éducation à l'Université Sainte-Anne, vient d'obtenir du financement de Change Lab Action Research Initiative (CLARI). Cette subvention de 7 500 $ sera répartie sur un an et lui permettra de déclencher un projet de recherche-action touchant le développement de la littératie à travers le conte. 

« Le conte est un genre littéraire particulier accessible à toutes les tranches d'âge. Il permet de lier de manière intrinsèque et dynamique la communication orale, la lecture et l'écriture. Mon but dans ce projet est de lier la recherche, le développement professionnel des enseignants et la communauté. »

- Judith Patouma, professeure de didactique des langues.

« Cette subvention, une première pour l'Université Sainte-Anne au programme d'appui à la recherche-action, fournit une excellente occasion de mobiliser des savoirs académiques au service de la vitalité de notre communauté. Nous félicitons la professeure Patouma. »

- Kenneth Deveau, vice-recteur à l'enseignement et à la recherche,

Ce projet, mené en partenariat avec la Fédération culturelle acadienne de la Nouvelle-Écosse (FéCANE), verra plusieurs activités organisées autour de la venue d'Arleen Thibault, une conteuse professionnelle. Originaire de Québec et active sur la scène francophone du conte depuis plus de 15 ans, Arleen Thibault a su créer un univers de contes original, porté par une touchante présence sur scène, où le merveilleux et l'urbain se côtoient avec humour.

Lors de son séjour, prévu du 4 au 7 décembre 2019, Mme Thibault mènera des activités pour différents publics. Des ateliers seront organisés en milieu scolaire, notamment dans les écoles secondaires du sud-ouest de la province ainsi que dans une école secondaire de la région de Halifax. Un atelier sera également offert à la population étudiante et aux professionnels de l'éducation à l'Université Sainte-Anne.

Finalement, Arleen Thibault présentera un spectacle intitulé « Le Vœu » le vendredi 6 décembre au Château de l'Université Sainte-Anne. Ce spectacle, recommandé au public âgé de plus de 14 ans, est ouvert à la communauté et l'entrée est libre.

À propos de Arleen Thibault

Forte de la finesse de ses textes et d'une touchante présence sur scène, Arleen Thibault mène sa chasse-galerie d'histoires dans une écriture originale, rythmée et pleine d'humour. Fléchant la ceinture de ses contes de thèmes traditionnels et contemporains, elle fait grimper l'énergie de son public qu'elle attrape dans le détour et « ratoure » de son foisonnant imaginaire à répondre. Issue du milieu des arts traditionnels, des arts de la scène de Québec, et conteuse depuis plus de 15 ans, Arleen Thibault fait partie des acteurs importants du renouveau du conte au Québec. Elle a participé à près d'une centaine de festivals et événements culturel au Québec, en Acadie, en France, en Belgique, au Congo, en Côte d'Ivoire. En mars 2015, elle représentait le Québec aux Fêtes de la francophonie 2015 à Sao Paulo au Brésil.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel