Actualités

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 11 mars 2019 – La cinquième Classe de maître de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT) de l'Université Sainte-Anne sera animée par Ricky G. Richard, politologue et blogueur citoyen. Il s'intéresse aux questions sociales, politiques et philosophiques touchant l'Acadie, la francophonie et l'identité canadienne.

Cette table ronde, intitulée Antibilinguisme : menace réelle ou occasion à saisir pour les francophones ?, aura lieu au campus de Pointe-de-l'Église le lundi 18 mars 2019 à 19h00 au Castelet. La conversation abordera les stratégies de mobilisation des communautés francophones alors que les droits de celles-ci sont attaqués par des mouvements populistes au Canada. Gratuite et ouverte au public, l'activité sera aussi diffusée en direct sur TV Sainte-Anne.

Originaire du Nouveau-Brunswick, Ricky G. Richard est diplômé en science politique de l'Université de Moncton et l'Université Laval. Il a travaillé au Commissariat aux langues officielles du Canada pendant plus d'une décennie. Il a également enseigné en science politique à l'Université d'Ottawa. Ses chroniques paraissent dans le Huffington Post Québec, dans le webzine Astheure, sur son blogue et dans d'autres organes de presse.

Suivant la formule des Classes de maître, cette table ronde prendra la forme d’un séminaire composé d’étudiants et d’étudiantes et de professeures de l'Université Sainte-Anne ainsi que de membres de la communauté. Le public sera invité à contribuer à la discussion. « Il s’agira de questions cruciales pour l’avenir de la francophonie canadienne », explique le professeur Clint Bruce, titulaire de la CRÉAcT.

La table ronde est composée des personnes suivantes :

  • Marie-Germaine Chartrand, étudiante en Cultures et espaces francophones et directrice du secteur collégial et du campus de Tusket
  • Yvette Comeau, étudiante en Cultures et espaces francophones et membre du conseil d'administration de la Société acadienne de Clare
  • Audrey Paquette-Verdon, étudiante en sciences de l'éducation
  • Bailey Ross, étudiant en sciences de l'éducation et assistant de la CRÉAcT
  • Elaine Thimot, ancienne directrice générale de la Société acadienne de Clare
  • Chantal White, professeur de linguistique au Département d'études françaises.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !