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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 7 janvier 2019 – Le professeur Clint Bruce, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et transnationales (CRÉAcT) et directeur de l'Observatoire Nord/Sud de l'Université Sainte-Anne, vient de publier deux articles sur les contacts transnationaux au sein de la francophonie nord-américaine.

Le premier article, intitulé « Un savoir solidaire Nord/Sud : le projet Louisiane et le défi de l'engagement », est paru dans la revue Recherches sociographiques, dans un numéro spécial sur les recherches conjointes sous la direction de Jean-Marc Fontan et Marguerite Soulière. L'étude du professeur Bruce met en lumière l'impact du Projet Louisiane, une initiative de recherche canadienne menée dans les années 1970, en s'intéressant tout particulièrement au vécu des jeunes Louisianais et Québécois embauchés alors comme assistants de recherche.

Le deuxième article, paru dans Minorités linguistiques et société, est intitulé « L'oubli de l'Acadie politique ? Le débat sur les Congrès mondiaux acadiens à la lumière de la question diasporique ». Ce texte fait partie d'un dossier thématique que Bruce a codirigé avec Martin Normand et Mariève Forest, sur la problématique de « Revisiter la question du pouvoir en francophonie canadienne ». Les trois chercheurs cosignent aussi un essai d'introduction pour ce numéro qui réunit neuf articles scientifiques.

Ces travaux s'inscrivent dans le programme de recherche de la CRÉAcT, qui explore l'évolution des liens entre les communautés de la diaspora acadienne et surtout entre celles des Provinces maritimes et de la Louisiane. Le professeur Bruce enseigne au Département des sciences humaines. Il est également codirecteur (avec Marc Lavoie) de Port Acadie : revue interdisciplinaire en études acadiennes.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!