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Pointe-de-l'Église (Nouvelle-Écosse), le 14 juillet 2011 - lors du congrès annuel de l'Association canadienne du personnel administratif universitaire (ACPAU), l'Université Sainte-Anne a remporté le deuxième prix national des Prix de la qualité et de la productivité 2011 pour son projet de technologies combinées.

Ces prix récompensent les initiatives prises par les administrateurs universitaires pour répondre aux besoins de leur établissement ou de leur collectivité. Il s'agit non seulement de reconnaître le travail du personnel administratif des universités canadiennes mais aussi de disséminer les pratiques efficaces dans l'ensemble de l'Amérique du nord. Trois prix nationaux sont décernés chaque année aux trois meilleurs dossiers: l'Université Sainte-Anne a obtenu la deuxième place, le premier prix étant attribué à Carleton University et le troisième prix, à l'Université McGill.

« Depuis 2009, l'Université Sainte-Anne a mis en place trois sources d'énergies renouvelables sur son campus principal de Pointe-de-l'Église : une installation de chauffage de l'eau à l'énergie solaire, une fournaise de gazéification de la biomasse et une éolienne de 50 kW », a indiqué Allister Surette, recteur et vice-chancelier de l'Université Sainte-Anne. « Nous sommes fiers de voir que notre engagement en matière de développement durable et de protection de l'environnement a été reconnu par l'ACPAU et nous espérons que de nombreux établissements vont s'inscrire dans cette même démarche écologique. »

Cette année, 24 universités ont soumis 37 projets au concours des prix de la qualité et de la productivité. Les candidatures ont été départagées selon cinq critères d'évaluation: la transférabilité (c'est-à-dire la possibilité de mise en oeuvre dans d'autres établissements), l'innovation, l'impact sur la qualité, l' impact sur la productivité, le pouvoir de transformation (mesure dans laquelle la réalisation a contribué à transformer un service ou l'établissement dans son ensemble). Pour son deuxième prix national, l'Université Sainte-Anne a reçu une plaque ainsi qu'un chèque de 2500$.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne est le seul établissement d'enseignement postsecondaire de langue française en Nouvelle-Écosse. Elle accueille principalement des étudiants originaires des provinces de l'Atlantique mais également de partout ailleurs au Canada, ainsi que d'une douzaine d'autres pays. L'Université Sainte-Anne dispense des programmes collégiaux et universitaires à travers ses cinq campus de Halifax, Petit-de-Grat, Pointe-de-l'Église, St-Joseph-du-Moine et Tusket (Nouvelle-Écosse). www.usainteanne.ca

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!

Maya Hayes est originaire de Halifax, N.-É. et étudiante de première année dans l’Option immersion française intégrée (OIFI). Après avoir débutée au niveau intermédiaire en français, elle a beaucoup progressé et a réussi à décrocher un emploi comme animatrice francophone dans les camps organisés Canadian Parents for French - Nova Scotia à Halifax. Elle est très fière d’avoir passé une entrevue en français et d’être sélectionnée à cause de la qualité de son français oral.

Deux aspects qu’elle a beaucoup appréciés de l’option OIFI « étaient les leçons et la façon que les professeurs nous ont enseigné les matériaux. Cela m’a donné un point de vue différent sur la langue française que j’ai beaucoup aimé. »

Félicitations, Maya, et nous sommes convaincus que les enfants du camp de Canadian Parents for French sont chanceux de t’avoir comme animatrice!