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Langue, lecture : discerner le territoire dans le roman

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 18 janvier 2015 – La Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones et le Département d'études françaises de l'Université Sainte-Anne vous invitent à la deuxième conférence du cycle des « grandes conférences de l'Université Saint-Anne » pour l'année 2015-2016 qui sera donnée par Paul Bleton.

Dans sa conférence, intitulée Langue, lecture : discerner le territoire dans le roman, Paul Bleton examinera les problématiques que le soulève le thème « roman et mondialisation ». Il scrutera les dynamiques bien souvent paradoxales entre langue, territoire et littérature et tentera de mettre en lumière les effets de la mondialisation avec tout ce que cela comporte comme frottements contradictoires des langues et des cultures, géopolitique de la littérature sur un aspect essentiel de la dynamique littéraire : l'acte de lecture.

Paul Bleton

Paul Bleton a publié deux essais sur le roman d'espionnage, La cristallisation de l'ombre. Les origines oubliées du roman d'espionnage sous la IIIe République (2011) et Les Anges de Machiavel (1994). Il est également l'auteur de Ça se lit comme un roman policier… Comprendre la lecture sérielle (1999), un essai sur l'acte de lecture propre au roman populaire; Western France (2002), une étude sur l'imaginaire français de la conquête de l'Ouest; une autre étude, Combats. Récit de guerre et imaginaire militaire en France est à paraître. Il a co-signé Lignes de fronts. Le roman de guerre dans la littérature africaine (2009) avec Désiré Nyela et Le Vagabond stoïque, Louis Hémon (2004) avec Mario Poirier. Il a été le maître d'œuvre de plusieurs numéros thématiques de revues (comme Études littéraires, Protée, Les Cahiers pour la littérature populaire…), dirigé plusieurs volumes collectifs : Hostilités. Guerre, mémoire, fiction et culture médiatique (2001), Amour, aventure et mystère ou : les romans qu'on ne peut pas lâcher (1998), Les hauts et les bas de l'imaginaire western (avec R. Saint-Germain, 1997) et Armes, larmes, charmes. Sérialité et paralittérature (1995). Il est l'auteur de nombreux articles sur la littérature populaire et la bande dessinée et a collaboré à de multiples ouvrages collectifs. Professeur à la Télé-université à Montréal depuis 1982, il y a publié de nombreux manuels sur la communication écrite et l'argumentation, la linguistique et la philosophie du langage, la communication non-verbale et la communication interculturelle, la littérature de grande diffusion et la bande dessinée.

L'événement aura lieu le jeudi 4 février à 19 h 00 à la salle B-34. Vous ne pouvez pas assister? Visionner en ligne au site web www.usainteanne.ca/tv.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientielles favorisant l'engagement et la réussite estudiantins et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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