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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 23 septembre 2019 – Après plusieurs mois de préparation, Caroline Fitzpatrick, professeure adjointe au département des sciences humaines à l'Université Sainte-Anne et chercheuse membre du Centre PERFORM de l'Université Concordia, lance officiellement le Laboratoire d'études sur la petite enfance.

Ce laboratoire a pour mandat de générer, diffuser et mobiliser de nouvelles connaissances qui soutiendront le développement de pratiques exemplaires sur le bien-être et la réussite éducative des enfants d'âge préscolaire en Nouvelle-Écosse. Divers projets sont déjà en cours, notamment le projet sur les effets du temps passé devant un écran et la qualité de la préparation scolaire. Elizabeth Harvey, professeure en éducation et co-fondatrice du laboratoire, soutient que « le laboratoire sera un environnement de recherche, d'innovation et de formation stimulant non seulement pour les chercheurs, mais également pour les étudiants et les partenaires des milieux de la pratique ». Le laboratoire est situé dans la salle 108 de l'édifice Gustave-Blanche du campus de Pointe-de-l'Église.  

« Le développement d'installations et de programmes de petite enfance qui sont d'actualité est au cœur de l'établissement de communautés instruites, saines et prospères. L'Université Sainte-Anne est ravie de l'établissement d'un laboratoire qui pourra guider ces efforts. »

- Kenneth Deveau, vice-recteur à l'enseignement et à la recherche de l'Université Sainte-Anne.

Rappelons que la professeure adjointe Fitzpatrick a récemment reçu une subvention de 150 000 $ de Research Nova Scotia et une deuxième du Conseil national de recherche en sciences humaines (CRSH) de 72 000 $, ce qui lui permettra de réaliser ses projets de recherche.

Une première activité du laboratoire se déroulera le mardi 1er octobre prochain. Cette conférence destinée au grand public et présentée par la professeure adjointe Caroline Fitzpatrick s'adresse à toute personne qui se pose des questions au sujet de l'usage des écrans et des médias par les enfants et les adolescents. On invite les parents, les étudiants et étudiantes, les professionnels de la petite enfance et de l'éducation, ainsi que les membres de la communauté, d'y assister. L'évènement gratuit se déroulera à la salle Marc Lescarbot. Pour un résumé de la conférence, veuillez vous référer à l'annonce de l'évènement.

Cette première activité est organisée en partenariat avec les Conseils d'écoles consultatifs (CEC) des écoles élémentaires de Clare et de l'École secondaire de Clare et le Centre acadien de l'Université Sainte-Anne.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information     

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel