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Pointe-de-l’Église (N.-É.), le 10 février 2023 – Trois étudiantes travaillent activement pour sensibiliser la population étudiante aux risques associés à la violence sexuelle et à la consommation d’alcool et de cannabis. Cailey Wood, Sydney Allen et Amélie Guitard sont membres du Comité bien être en plus d’être très impliquées sur le campus.

Cailey Wood agit à titre d’Éducatrice en prévention de violence sexuelle depuis l’automne. Originaire de l’Île-du-Prince-Édouard, elle est très impliquée dans plusieurs aspects de la vie étudiante. Elle est la coordonnatrice du Café Bric à Brac, siège au Comité de prévention de violence sexuelle ainsi qu’au Comité bien être. Dans son rôle, elle souhaite offrir aux étudiantes et étudiants des sessions d’information et de formation telles que Vagues du changement et mettre en place, en collaboration avec Sydney et Amélie, une programmation pour la Semaine du consentement.

Deux étudiantes qui sourient

Les étudiantes Sydney Allen et Amélie Guitard.

Sydney Allen, originaire de la Nouvelle-Écosse, et Amélie Guitard, originaire du Nouveau-Brunswick, sont toutes nouvelles dans leur rôle d’Ambassadrices du programme Restons sociables. Embauchées à l’hiver, elles sont également très impliquées sur le campus et agissent à titre de leader au sein de la vie étudiante. Sydney et Amélie siègent sur le Comité bien être à titre de présidente et vice-présidente, respectivement. Leur rôle en tant qu’ambassadrices de Restons sociables vise à augmenter la sensibilisation à la consommation responsable d’alcool et de cannabis sur nos campus.

Restons sociables fait la promotion de la consommation responsable de boissons alcoolisées et de cannabis, du choix personnel ainsi que de la culture de la modération. Depuis cinq ans, les ambassadeurs de Restons sociables outillent leurs collègues étudiants et étudiantes pour leur permettre de réduire leurs risques et de respecter leurs limites. Restons sociables n’est pas une campagne contre la consommation, mais une plateforme de sensibilisation à la consommation responsable afin que toute personne puisse se souvenir de sa soirée et passer un bon moment.

Ces postes sont subventionnés par le gouvernement de la Nouvelle-Écosse par l’entremise du Comité de prévention de violence sexuelle de la Nouvelle-Écosse et la Nova Scotia Liquor Corporation sur tous les campus universitaires en Nouvelle-Écosse. L’Université Sainte-Anne est ravie de pouvoir bénéficier de l’approche collaborative de ces deux programmes et de siéger aux comités provinciaux de chacun.

Pour en savoir plus sur la prévention de la violence sexuelle et le consentement, visitez le site de Break the Silence où vous trouverez des modules (en anglais seulement) sur la thématique de prévention et d’appui aux survivants de violence sexuelle. Vous pouvez aussi visiter le site Web du programme de Restons sociables pour en savoir plus.

À propos de l’Université Sainte-Anne

L’Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d’études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d’immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l’excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d’apprentissage expérientiel favorisant l’engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l’établissement d’une culture d’excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l’Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d’information       

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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