Actualités

Chantal White, Clint Bruce et Andrea Burke-Saulnier

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 28 avril 2016 – Trois chercheurs de l'Université Sainte-Anne participeront au prochain colloque organisé conjointement par la Société canadienne d'anthropologie (CASCA) et la Société pour l'anthropologie de l'Amérique du Nord (SANA). Le colloque portera sur le thème de « Solidarit(i)és » et se tiendra à Halifax (N.-É.) du 11 au 15 mai prochain.

Les professeurs Clint Bruce, Chantal White et Andrea Burke-Saulnier vont intervenir dans le cadre d'une table ronde intitulée : « Les échelles de solidarité : engagement et recherche en Acadie et milieu francophone minoritaire ». Ils seront accompagnés d'Annette Boudreau de l'Université de Moncton, Monica Heller de l'Université de Toronto et Michel Bouchard de l'University of Northern British Columbia.

La séance servira d'invitation à la réflexion sur les postures du chercheur en Acadie en tenant compte des échelles du terrain, des définitions diverses de l'Acadie et des différentes méthodes. Les participants aborderont des sujets tels que la solidarité en recherche et les enjeux liés à la proximité et à la distance vis-à-vis des milieux étudiés, notamment en Acadie et dans les autres régions francophones canadiennes en milieu minoritaire.

Pour monsieur Bouchard, francophone originaire de l'Alberta et président actuel de la CASCA, sa participation au colloque est en quelque sorte un retour à ses racines. Sa grand-mère se disait Acadienne, sa famille ayant quitté Port-Royal, avant le Grand Dérangement, pour le Québec, puis le Kansas et enfin l'Alberta. « Je comprends la nécessité d'intégrer non seulement des chercheurs et chercheuses francophones dans une association telle que la Société canadienne d'anthropologie qui se veut bilingue, mais également des participants de la plus grande francophonie à la fois nationale et internationale. Je suis doublement fier d'encourager la participation de chercheurs provenant de l'Université Sainte-Anne en Nouvelle-Écosse » explique monsieur Bouchard.

La CASCA est un regroupement de plus de 500 membres au Canada et dans le monde qui a pour mandat de fournir un forum d'échange d'idées entre les ethnologues. Elle vise à encourager le rayonnement formel et informel des connaissances grâce à un colloque annuel et à des publications, à promouvoir les relations avec les autres associations académiques et professionnelles, les groupes aborigènes et les gouvernements, et à diffuser la recherche et les activités ethnologiques qui ont pour but d'approfondir la compréhension des pratiques ethnologiques.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !