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Portrait de Daniel Long en noir et blanc

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 14 septembre 2022 – Le bureau de la recherche de l'Université Sainte-Anne met de l'avant ses chercheuses et chercheurs ! Aujourd'hui, nous vous présentons Daniel Long, professeur agrégé au Département d'études françaises

Natif d'Edmundston et ayant grandi à Moncton au Nouveau-Brunswick, Daniel Long a intégré le corps professoral de l'Université Sainte-Anne en 2005. Dans le cadre de ses recherches, il s'intéresse à la littérature française du XIXe siècle, notamment l'évolution du roman français à travers les courants romantiques et réalistes, ainsi qu'aux littératures médiévale et classique et au roman acadien. 

Après avoir obtenu son baccalauréat ès arts avec spécialisation en français à l'Université de Moncton, Daniel prend le chemin de l'Europe pour faire d'abord une maîtrise en Lettres modernes à l'Université de Provence Aix-Marseille I, puis un Diplôme d'études approfondies et un Doctorat en Littérature et Civilisation françaises à l'Université de Paris-Sorbonne (Paris IV). Dans sa thèse de doctorat, il s'est intéressé aux transformations de la littérature de la seconde moitié du siècle alors que l'écriture romanesque tend davantage au réalisme, en opposition au romantisme. 

Son projet de recherche actuel, intitulé Un édifice romanesque à consolider : vestiges du romantisme et fondements à rétablir (1860-1870), s'inscrit dans la continuité de ces travaux pour examiner la survie du romantisme et l'hybridité des genres qui ont façonné le roman réaliste de la fin du XIXe siècle en France. Il s'intéresse également au contexte littéraire et social sous le règne de Napoléon III, sous qui a émergé une censure des artistes et des conditions politiques qui ont amené des romancières et des romanciers à s'éloigner du romantisme. 

Plus près de nous, les travaux de Daniel portent aussi sur le roman acadien à travers la convergence des littératures francophones minoritaires en Amérique du Nord ainsi que l'évolution des représentations littéraires de l'Acadie. Il a notamment co-publié l'ouvrage Au-delà de l'exiguïté : échos et convergences dans les littératures minoritaires avec Jimmy Thibeault, Désiré Nyela et Jean Wilson en 2016, et un second ouvrage, intitulé Chronos : le temps en question dans les littératures francophones du Canada et co-publié avec Emir Delic, Désiré Nyela, Chantal White et Jean Wilson, paraîtra dans les prochains mois.

À propos de la recherche à l'Université Sainte-Anne 

Fière de son caractère francophone, l'Université Sainte-Anne constitue un foyer unique en son genre pour l'apprentissage, la recherche, l'innovation et l'épanouissement en français. En effet, ancrée dans l'Acadie de la Nouvelle-Écosse, l'Université se focalise sur la création et la mobilisation de savoirs nouveaux dans une variété de domaines de pointe particulièrement pertinents pour notre époque. L'Université Sainte-Anne souhaite soutenir une culture de recherche concertée et dynamique, de façon à favoriser le rayonnement et la mise en œuvre de savoirs vitaux et novateurs, destinés à répondre aux besoins de la communauté locale, de la société acadienne et d'un monde en constante mutation. 

Pour plus d'information  

Bureau de la recherche   
Université Sainte-Anne  
Tél. : 902-769-2114  
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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