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Pointe-de-l’Église, le mardi 3 avril 2007 : L’Université Sainte-Anne annonce qu’elle décernera un doctorat honorifique au réalisateur et scénariste acadien Phil Comeau, lors de la collation des grades universitaire, le samedi 5 mai 2007.

« C’est autant un plaisir qu’un honneur pour nous de pouvoir décerner un doctorat honorifique à ce grand cinéaste de la Nouvelle-Écosse, d’autant plus que l’Université Sainte-Anne a déjà eu la chance de le compter parmi ses étudiants », indique André Roberge, recteur et vice-chancelier de l’Université Sainte-Anne. « Monsieur Comeau est un bel exemple pour tous nos étudiants, ayant su faire rayonner la culture acadienne, néo-écossaise et canadienne en n’oubliant jamais ses origines », ajoute-t-il.

Originaire de la région de la Baie Sainte-Marie en Nouvelle-Écosse, le cinéaste Phil Comeau, bien qu’ayant réalisé des films dans plus de 20 pays, ne reste jamais bien loin de l’Acadie et de l’expression de sa culture sous plusieurs formes de son médium, que ca soit par le documentaire, le docu-drame ou le film de fiction. Il a tourné ses premiers films à la Baie Sainte-Marie en 1976 en Nouvelle-Écosse pour l’Office national du film du Canada, avec les fictions LA CABANE et LES GOSSIPEUSES, qui celui-ci a été le film de fiction le plus loué pendant 6 années consécutives. Parmi ses autres œuvres touchant directement à la culture acadienne, on peut nommer le film long métrage de cinéma LE SECRET DE JÉRÔME primé 14 fois aux festivals de films en Europe et en Amérique du nord, la télésérie LA SAGOUINE présenté à l’automne 2006 à Radio-Canada, LE TAPIS DE GRAND-PRÉ tourné à Chéticamp, AU MITAN DES ÎLES tourné à Wedgeport, et la mini-série LES COULEURS DE MON ACCENT qui fut tourné en Acadie et dans toutes les régions francophones du pays.

De plus, Phil Comeau a œuvré dans plusieurs séries néo-écossaises dont PIT PONY et EMILIE DE LA NOUVELLE-LUNE, des séries québécoises tel que TRIBU.COM ayant obtenu des cotes d’écoute de 1.3 millions de spectateurs et de nombreuses coproductions internationales, ce qui fait de lui un excellent ambassadeur non-seulement de l’Acadie, mais de la Nouvelle-Écosse, de la francophonie canadienne et du Canada tout entier. Phil Comeau est un homme du monde, sachant allier la découverte de nouveaux horizons à la représentation de son Acadie natale et faisant découvrir à de nombreux publics divers facettes du monde qui nous entoure.

« Je suis très heureux de recevoir cette distinction de l’Université Sainte-Anne car j’y ai étudié et s’est situé dans ma région natale. J’ai une passion pour le cinéma et je suis content que ce doctorat honorifique en Beaux-Arts reflète plusieurs domaines artistiques dont j’ai aussi eu le privilège d’approfondir en réalisant des films incluant entre autres la musique, la danse, la peinture, la sculpture, l’architecture et la littérature, en plus des films que j’ai réalisé sur différentes cultures du monde dont mon peuple, les Acadiens. » résume le cinéaste Phil Comeau.

Phil Comeau est membre de plusieurs associations professionnelles au Canada et en France, et a aussi siègé sur l’exécutif de l’Association des réalisateurs de films du Québec pendant trois ans. Il a aussi été plusieurs fois membre de prestigieux jurys dont pour le Conseil des arts du Canada, les Prix Jutra, les Prix de la Director’s Guild, les Prix Génie et les Prix Gémeaux sur lequel il a été président du Jury d’interprétation.

Le talent de Phil Comeau a été récompensé à de nombreuses occasions, ses œuvres ayant accumulées 26 prix dans des festivals de films en France, en Belgique, aux États-Unis et au Canada. Les dernières années l’ont vu recevoir des prix pour son œuvre en général et pour son apport à la culture : le mérite de l’Ordre des Francophones d’Amérique (Québec) en 2007, il fut nommé Chevalier de L’Ordre des Arts et des Lettres de la France (Paris) en 2006, sa biographie a été incluse dans la publication « Who’s Who in Canada » (Toronto) en 2000, et il a aussi reçu le Prix Méritas de la Fédération acadienne du Québec (Montréal) en 1999, le Prix Grand-Pré du Gouvernement de la Nouvelle-Écosse (Halifax) en 1997, et le Prix Champion de la Fédération culturelle canadienne-française (Ottawa) en 1995

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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