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De gauche à droite dans la photo: Jean Wilson, Kenneth Deveau et Jimmy Thibeault (absent Emir Delic). Crédit photo: Nicole Deveau-Lombard

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 22 juin 2017 - Quatre chercheurs de l'Université Sainte-Anne se rendront bientôt à Angers en France afin de participer à un colloque organisé conjointement par le Laboratoire Cirpall de l'Université d'Angers et la Chaire de recherche du Canada en études acadiennes et francophones (CRÉAF) de l'Université Sainte-Anne.

Ce colloque pluridisciplinaire portera sur le thème « France-Canada : identités en mouvance, regards croisés » et se tiendra à l'Université d'Angers le 28, 29 et 30 juin. Il regroupe des interventions provenant des différents domaines de recherche des sciences humaines et des lettres, notamment l'histoire, la littérature, la linguistique, la sociologie, les sciences de l'éducation et les sciences du langage.

Les professeurs Jimmy Thibeault et Emir Delic vont intervenir dans la session intitulée « Lire la présence française dans les littératures francophones du Canada » et le professeur Jean Wilson interviendra dans la session « Échanges et migration ».

« Le colloque France-Canada va permettre un dialogue entre les espaces francophones canadiens et la France. On s'intéresse certainement, du point de vue canadien, à notre filiation à la France et au désir d'émancipation bien présent dans notre culture. Mais le colloque va au-delà et propose aussi une réflexion sur l'influence que les deux espaces culturels peuvent avoir l'un sur l'autre, la France sur les francophonies canadiennes et les francophonies canadiennes sur la France. Nous explorerons, par exemple, les imaginaires des deux espaces culturels, leur rapport à l'intégration linguistique dans le contexte de l'immigration, aux enjeux identitaires en milieu scolaire, etc. » explique Jimmy Thibeault, titulaire de la CRÉAF et membre du comité organisateur.

Kenneth Deveau, vice-recteur à l'enseignement et à la recherche à l'Université Sainte-Anne sera également sur place pour présider une séance et pour appuyer l'événement. « Pour l'Université Sainte-Anne, qui appuie fortement le projet, il s'agit d'une belle collaboration qui confirme sa volonté de jouer un rôle déterminant dans la réflexion sur les francophonies canadiennes » affirme-t-il.

Pour plus de renseignements sur le déroulement du colloque, veuillez consulter le programme.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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