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Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 23 juillet 2018 – L'Université Sainte-Anne est fière d'annoncer que le programme de baccalauréat ès sciences avec majeure en biologie peut dorénavant être suivi sous le régime coopératif.

L'objectif de cette nouvelle option est de permettre à nos étudiants de faire le pont entre la formation théorique obtenue en salle de classe et le marché du travail. Les étudiants apprendront à se préparer aux entrevues d'embauche, à vivre des expériences concrètes dans le cadre d'un emploi et à exercer l'activité professionnelle à laquelle ils se destinent, dans le but de faciliter leur intégration sur le marché du travail.

Alors que cette formation prépare les étudiants aux études supérieures, les possibilités d'emploi sont également nombreuses à la suite de l'obtention du baccalauréat. À part les options évidentes comme biologiste, écologiste ou botaniste, il est possible de poursuivre ses études pour devenir généticien, ornithologue, enseignant, assistant de recherche ou encore, travailler au sein de la fonction publique. « Les opportunités d'emploi sont assez vastes et le taux de placement à la suite de ce type de baccalauréat coopératif est élevé » confirme Nabil Abboud, directeur du département des sciences à l'Université Sainte-Anne.

« Il s'agit d'une excellente nouvelle tant pour nos étudiants que pour nos régions. Voilà encore une initiative qui vise le développement de compétences transversales et appliquées chez nos étudiants, et, simultanément, permet aux entreprises, aux industries locales et aux agences gouvernementales de bénéficier d'une main d'œuvre qualifiée » explique le vice-recteur à l'enseignement et à la recherche, Kenneth Deveau.

Tout comme les programmes coopératifs en biologie offerts par d'autres universités au Canada, le régime coopératif à l'Université Sainte-Anne exige un total de 120 crédits (le même nombre de crédits associés au baccalauréat ès sciences avec majeure en biologie) et 3 stages de travail rémunérés. L'ensemble du programme de majeure en biologie et l'option COOP sont échelonnés sur une période de quatre ans et demi. 

Pour plus d'information concernant cette option, veuillez contacter Nabil Abboud par courriel Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 902-769-2114 au poste 7187.

À propos de l'Université Sainte-Anne

L'Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d'études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d'immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l'excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d'apprentissage expérientiel favorisant l'engagement et la réussite des étudiantes et étudiants et un contexte favorable à l'établissement d'une culture d'excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l'Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d'information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
Tél. : 902-769-2114 poste 7222
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel

Coup d'oeil sur les #stagesenenseignement

Originaire de Petit-Ruisseau (N.-É.), Jocelyne LeBlanc-Tidd a fait carrière en enseignement pendant 33 ans. Elle a été stagiaire lorsqu’elle était étudiante, elle a accueilli des stagiaires dans sa salle de classe en tant qu’enseignante et dans son école en tant que directrice et elle a également été superviseure de stage à l’Université Sainte-Anne pendant 10 ans.

« J’ai accepté des stagiaires tout au long de ma carrière, surtout aux niveaux 7e et 8e en français; des années de défi que j’adorais. J’acceptais ces stagiaires, car je n’aurais pas voulu être refusée et ces étudiants avaient besoin d’acquérir de l’expérience et de la confiance », explique Jocelyne.

Elle poursuit : « Il est très important que ces étudiants réalisent que l’enseignement est une profession qui demande beaucoup d’énergie, d’effort et de travail. Les plans de leçons peuvent être longs à préparer au départ, mais il faut apprendre comment organiser sa journée. La confiance se bâtit au fil du temps, surtout dans la matière enseignée. »

Elle a adoré ses 10 années en tant que superviseure de stage, car elle a aimé pouvoir guider les étudiantes et étudiants afin qu’ils soient sur la bonne voie. Elle remarquait des points à améliorer et c’était corrigé à la prochaine supervision.

Elle conclut en disant : « Les temps ont beaucoup changé, le monde a changé, les programmes ont changé, mais l’enseignement c’est encore une belle profession ».

@csap.officiel