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Jordan Park dans son laboratoire

Pointe-de-l'Église (N.-É.), le 14 décembre 2022 – Le bureau de la recherche de l'Université Sainte-Anne met de l'avant ses chercheuses et chercheurs ! Aujourd'hui, nous vous présentons Jordan Jun Chul Park, professeur adjoint au Département des sciences. 

Après un stage postdoctoral à l'Université Sungkyunkwan à Séoul en Corée du Sud, Jordan Park se joint au corps professoral de l'Université Sainte-Anne en 2021. Spécialiste de l'écotoxicologie des invertébrés marins, il s'intéresse en particulier aux réponses de différentes espèces, comme les copépodes - de petits crustacés composant la base du zooplancton – et les homards, aux stress suscités par les changements climatiques et les polluants environnementaux.

Le programme de recherche de Jordan s'est d'abord orienté vers les mécanismes de désintoxication de micro-organismes marins, comme les rotifères et les copépodes. En utilisant les outils issus de la génomique, il a ainsi examiné les effets de différents polluants, comme les antibiotiques ou les produits pharmaceutiques, sur le génome de ces espèces afin d'élucider leurs réponses adaptatives. 

Plus récemment, à son arrivée à l'Université Sainte-Anne, il s'est intéressé aux effets de l'hypoxie, un manque en oxygène, et des microplastiques chez les copépodes. Ces travaux, financés par une subvention interne de l'Université Sainte-Anne et soutenus par l'embauche de personnel de recherche par l'entremise des Bourses de recherche de premier cycle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG), visent à mieux cerner les facteurs écotoxicologiques qui affectent l'espèce Tigriopus californicus

À travers ses travaux, Jordan a intégré l'équipe du Centre de recherche et d'innovation sur la qualité du homard (CRIQH) en plus d'établir son propre laboratoire de recherche sur les déterminants de la santé des homards. Plus particulièrement, ses projets en cours traitent des mécanismes de réponse aux stress suscités par les microplastiques, des polluants issus de la dégradation de certains objets de la vie courante, comme les textiles en fibre synthétique et les pneus des voitures, et dont l'accumulation a des répercussions sensibles dans les milieux marins.  

De fil en aiguille, son programme de recherche l'a conduit à collaborer directement avec le secteur du homard en Nouvelle-Écosse. Avec le soutien financier de Nova Scotia Business Inc. (NSBI) en 2022, ces collaborations contribueront entre autres au développement de pratiques innovantes pour le contrôle de qualité au sein de l'industrie.

À propos de la recherche à l'Université Sainte-Anne 

Fière de son caractère francophone, l'Université Sainte-Anne constitue un foyer unique en son genre pour l'apprentissage, la recherche, l'innovation et l'épanouissement en français. En effet, ancrée dans l'Acadie de la Nouvelle-Écosse, l'Université se focalise sur la création et la mobilisation de savoirs nouveaux dans une variété de domaines de pointe particulièrement pertinents pour notre époque. L'Université Sainte-Anne souhaite soutenir une culture de recherche concertée et dynamique, de façon à favoriser le rayonnement et la mise en œuvre de savoirs vitaux et novateurs, destinés à répondre aux besoins de la communauté locale, de la société acadienne et d'un monde en constante mutation. 

Pour plus d'information  

Bureau de la recherche   
Université Sainte-Anne  
Tél. : 902-769-2114  
Courriel : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

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Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

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