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Pointe-de-l’Église (N.-É.), le 14 novembre 2017 – L’Université Sainte-Anne est heureuse de constater que le taux de placement de nos étudiants diplômés du baccalauréat en éducation se chiffre à près de 100 %. Année après année, les conseils scolaires à travers le pays sollicitent nos étudiants diplômés et nous sommes convaincus qu’ils continueront de recruter chez nous.

En fait, nous en sommes tellement certains que nous offrons une garantie d’emploi aux nouveaux étudiants qui s’inscrivent à temps plein au baccalauréat en éducation (B.Éd. ou B.A./B.Éd. ou B.Sc./B.Éd.). Si ces étudiants n’obtiennent pas d’emploi dans leur domaine avant la rentrée de septembre suivant l’obtention de leur diplôme, ils pourront revenir étudier gratuitement[1] à l’Université Sainte-Anne, dans un programme de niveau équivalent à celui dans lequel ils étaient inscrits.

En Nouvelle-Écosse, les perspectives d’emploi sont excellentes pour les diplômés en enseignement, et ce pour plusieurs raisons. Le Conseil scolaire acadien provincial (CSAP) cherche toujours à combler des postes en enseignement du français langue maternelle, sans compter qu’il est actuellement à la recherche de relève pour augmenter le nombre d’enseignants disponibles pour faire de la suppléance. Pour leur part, les conseils scolaires anglophones font face à une pénurie d’enseignants dans les programmes d’immersion française.

La situation que vivent actuellement les conseils scolaires en Nouvelle-Écosse s’applique également à l’ensemble du pays. En fait, l’Université Sainte-Anne est convoitée régulièrement par les conseils scolaires des autres provinces canadiennes pour faire la promotion de leurs offres d’emploi.

« Nous sommes convaincus que les enseignants qui ont complété un programme en français langue seconde ou en français langue maternelle sont très bien positionnés sur le marché du travail. La grande majorité de nos étudiants en éducation décrochent un emploi facilement et rapidement après l’obtention de leur diplôme », explique Hughie Batherson, vice-recteur au recrutement et aux partenariats.

De plus, cette garantie d’emploi s’applique également aux diplômés du baccalauréat en administration des affaires (programme d’éducation coopérative). Sur le marché de l’emploi hautement concurrentiel, les employeurs s’intéressent surtout au fait que ces diplômés sont bilingues.

Force est de constater que le fait de posséder des compétences linguistiques avancées dans les deux langues officielles du Canada donne un avantage considérable à tous nos diplômés.

Pour plus d’informations sur ces programmes ou la garantie d’emploi, veuillez contacter Rachelle LeBlanc.

À propos de l’Université Sainte-Anne

L’Université Sainte-Anne, la seule université francophone en Nouvelle-Écosse, offre des programmes d’études universitaires et collégiales ainsi que des programmes d’immersion et de formation sur mesure en français langue seconde. Reconnue pour l’excellence de ses programmes et son milieu de vie unique et exceptionnel, elle offre des occasions d’apprentissage expérientiel favorisant l’engagement et la réussite des étudiants et un contexte favorable à l’établissement d’une culture d’excellence en recherche et en développement. Résolument ancrée dans son milieu, elle est un partenaire de choix pour accroître la vitalité des régions entourant ses campus et de l’Acadie de la Nouvelle-Écosse dans son ensemble.

Pour plus d’information

Rachelle LeBlanc, Directrice des communications et du marketing
Université Sainte-Anne
902-769-2114, poste 7222
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


[1] C’est-à-dire sans avoir à payer de frais de scolarité. Les autres frais sont à la charge de l’étudiant.

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !

Coup d'oeil sur les #StagesEnEnseignement

Originaire de Eastern Passage (N.-É.), Catherine D. Beauséjour est en deuxième année du baccalauréat en éducation à l’élémentaire et titulaire du baccalauréat en sciences sociales à l’Université Laurentienne.

C’est à l’hiver 2023 que Catherine a complété un stage avec les élèves de 5e année à l’École Beaux-Marais. Catherine dit avoir été très chanceuse avec son expérience de stage : « L’enseignante qui m’a pris sous ses ailes est une enseignante tellement talentueuse, avec plus de 20 ans d’expérience en salle de classe. J’avais le sentiment d’absorber de nouveaux apprentissages tous les jours. Elle m’a fait sentir que je pouvais prendre des chances et essayer des activités et que ce n’est pas la fin du monde si elles ne fonctionnent pas avec les élèves. »

Une expérience positive qu’elle retient est le fait de s’asseoir avec un groupe d’élèves qui avait un peu plus de difficultés que les autres à compléter un travail. Elle a apprécié pouvoir faire une différence dans leur apprentissage pendant cette courte période.

Lorsque interrogée à savoir quel type d’appui elle avait reçu de l’enseignante, Catherine ajoute : « L'enseignante qui m’a accueillie était toujours présente pour m'appuyer. Je n’ai jamais eu des problèmes que je n’ai pas pu résoudre avec mes enseignantes formatrices et j’ai appris beaucoup sur comment aider les élèves sur le plan socio-émotionnel. Chaque histoire qu’elle me racontait de ses expériences en salle de classe m’a donné la chance de pouvoir avoir des repères sur certaines situations lorsqu'elles vont survenir dans ma propre classe. »

Un projet en collaboration avec le @csap.officiel !